
Tout savoir sur le BMX freestyle
10 décembre 2019Si vous pensez que les promenades le dimanche à vélo font partie de cette activité, alors vous vous trompez. Afin d’en savoir davantage sur la pratique de ce sport, voyons ce qu’est exactement le BMX freestyle.
Définition du BMX
La base est de savoir ce que c’est exactement. Commençons par le BMX. Le BMX vient de l’anglais Bicycle Moto Cross. C’est un vélo beaucoup plus petit que la moyenne, au poids plus léger et avec des équipements adaptés aux différents sports possibles. La pratique ici sera le freestyle. Le BMX sera donc monté avec ou sans des freins en fonction du « cycliste » appelé rider, en fonction de ce dont il aura besoin. D’ailleurs grand sujet de discorde, quand certains critiquent les freins d’autres ne peuvent s’en passer, tout comme les pegs. Les pegs sont des repose-pieds que l’on trouve de chaque côté des roues avant et arrière. Le freestyle, à proprement parlé, est la réalisation de figures acrobatiques. Que ce soit sur une surface plate (du plat) ou sur des structures adaptées (tremplins, bowls en skatepark). Il existe énormément de compétitions en France mais également dans le monde.
Des équipements adaptés
Côté équipement, il va de soi que la bicyclette de grand-maman ne sera pas adaptée pour le freestyle. Il existe tout un éventail d’accessoires propres au BMX freestyle et différents de ceux pour le BMX race par exemple. La forme du guidon, les poignées, les pneus seront différents ainsi que les rayons. Pour le freestyle, le BMX devra être léger pour vous permettre des figures aériennes fluides, mais assez lourd pour être à la fois stable et maintenir l’équilibre. Les pegs énoncés plus haut pourront être ajoutés ou retirés selon vos besoins. Ils vous seront utiles pendant vos séances de plat, mais beaucoup moins lors de vos cabrioles. Pour votre équipement personnel, dans les essentiels, n’oubliez pas votre casque ! On ne le répète jamais assez, mais le freestyle est un sport dangereux, prenez le temps de vous protéger. N’hésitez pas à également à mettre des gants adaptés (antidérapant et légers) pour prévenir des ampoules qui arrivent assez vite. Vos jambes devront également bénéficier de renforcements comme des protège-tibias et genouillères (lorsque vous faites tourner votre vélo, pensez à la réception et la douleur qu’un retour de pédale pourrait vous procurer pour vous motiver à les porter).